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Le temps du désespoir
Texte de René Roussillon, extrait de « Agonie et désespoir dans le transfert paradoxal », publié dans André J. (dir.) Le temps du désespoir : 67-96. Paris, Puf, 2002.
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Questions à Catherine Chabert à propos de son livre « Les belles espérances »
Chabert C. (2020). Les belles espérances. Le transfert et l’attente. Paris, Puf.
Rfp : Dans votre livre, le chapitre qui lui donne son titre « Les belles espérances » présente la cure d’une jeune femme. Vous y décrivez une première phase d’idéalisation de l’analyste, qui va être suivie par une période de déception et d’attaque de celle-ci, mettant au jour les déceptions de l’histoire personnelle. -
Freud dans le texte
FREUD DANS LES TEXTES | Numéro 2022-2 Pouvoir des imagos
Sur la dynamique de transfert
Sigmund Freud, OCF.P, XI, p. 107-116.
Le thème, difficilement épuisable, du « transfert » a récemment été traité d’une façon descriptive par W. Stekel dans ce journal. -
2022, Tome 86-2
Si, dès le début de son œuvre, Freud utilise le terme d’imago, ce n’est qu’après 1920 qu’il le relie à la construction du surmoi : celui-ci, pour s’accomplir, doit en effet devenir impersonnel, c’est-à-dire se dégager de la réalité des investissements premiers en les intériorisant.
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Entretien avec Paul Denis à propos des imagos
Rfp : Votre texte, « D’imago en instances, un aspect de la morphologie du changement », publié en 1996 dans un numéro de la RFP intitulé « L’épreuve du changement », a fait date et l’on peut constater que la plupart des articles qui ont été sélectionnés pour ce dernier numéro, consacré au « Pouvoir des imagos », s’y réfèrent.
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Le meurtre de l’imago et le processus d’individuation
Article de Jean Gillibert (extraits), paru dans la RFP 33 (3) : 375-414, 1969.
« Le meurtre de l’imago et le processus d’individuation », de Jean Gillibert, paru dans la Revue française de psychanalyse en 1969, fut initialement l’objet d’une conférence faite devant la Société psychanalytique de Paris, le 19 novembre 1968. -
59e Prix Maurice Bouvet, 2021
La lauréate du prix M. Bouvet pour l’année 2021 est Sylvie Pons-Nicolas, pour l’ensemble de son parcours d’écriture, et en particulier pour trois de ses articles. Nous sommes heureux de constater que, cette année encore, ce sont des publications faites dans la Revue française de Psychanalyse qui ont été recompensées. Les trois textes sont :
« Du contre-transfert traumatique au plaisir partagé.

